Quel uppercut d’ouverture !
Ce couplet, c’est un éclat brut — un incipit d’une intensité rare, qui aurait mérité de revenir en boucle comme refrain principal tant il captive et imprime l’oreille.
On reste presque frustré qu’il soit relégué à l’intro, tant il porte la charge émotionnelle du morceau. Cela dit, le refrain « Dank… » déploie une vibe plus posée, presque introspective, et trouve finalement sa place dans l’équilibre du morceau. Mais difficile de ne pas rêver à ce que la chanson aurait été si ce couplet avait mené la danse…
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